Cette cantate pour baryton, flûte à bec ténor, viole de gambe et clavecin (à deux claviers 8’ + 8’ + 4’) a pour livret l’un des magnifiques sonnets de Jean de La Ceppède (1548-1623). L’écriture musicale en exprime le sentiment douloureux et méditatif tout à la fois.
J’ai retenu le genre de la cantate, avec sa succession de symphonies et d’airs.
Des modes de jeu spécifiques sont utilisés. Les tempi pour les passages mesurés sont indicatifs. Certains mouvements sont « non-mesurés » parfois au clavecin (comme les préludes du même nom), à la viole dans son « récit », ou parfois pour le quatuor dans son ensemble : pour cette raison seul le conducteur est fourni.
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- conducteur (16 pages)
